Le président de la République défendait rapidement les vaches et leurs subventions, qualifiées de "faux problème", et se livrait à une confidence personnelle :"Chaque fois que je vais en Afrique, le chef d'Etat concerné vient me chercher en général très gentiment à l'aérodrome et, sur les quelques kilomètres du parcours, il y a toujours beaucoup de monde, et je regarde toujours attentivement ces gens parce qu'on apprend beaucoup plus dans un regard que dans un dossier", disait-il. (...)
(no Le Monde)